Voici le temple, le palais du dieu ou de la dÄesse qu'on vÄnÅre dans cette rÄgion. Attention, entrÄe interdite au commun des mortels ! C'est un lieu sacrÄ... et drÖlement bien dÄcorÄ. Quels artistes, mes aòeux !
Les dieux
Mes ancÉtres adoraient des centaines de dieux. Chaque village avait son dieu prÄfÄrÄ, mais les divinitÄs les plus importantes Ätaient vÄnÄrÄes partout. Il y avait des dieux pour tout : le soleil, la mort, l'amour, la guerre, la sagesse, l'accouchement... TrÅs puissants, ces dieux ! Souvent de la mÉme famille et moitiÄ hommes, moitiÄ animaux. Pour faire leur connaissance, clique ici !
Osiris
Je suis le dieu du Royaume des Morts : Osiris, mais aussi le dieu de la Vie et de la VÄgÄtation. Autrefois, mon frÅre Seth ╨ ce traötre ! ╨ m'a tuÄ et m'a dÄcoupÄ en morceaux. Heureusement ma femme Isis a reconstituÄ mon corps. Avec l'aide d'Anubis, j'ai retrouvÄ la vie. Isis et moi avons un fils : Horus, le dieu-faucon, qui rÅgne sur le Ciel. Le pharaon est son incarnation sur Terre. Pour dÄcouvrir d╒autres dieux, clique sur moi !
Anubis
Je suis Anubis, le dieu ê tÉte de chacal. Je surveille l'embaumement des morts et je les protÅge durant leur dangereux voyage vers l'au-delê. Je pÅse leur c╧ur pour voir s'ils sont assez purs pour entrer au royaume d'Osiris. Ne te fie pas ê mon air : je ne suis pas mÄchant.
RÉ
Moi, je suis le dieu-soleil : RÉ. Le jour, je parcours le ciel dans ma barque, la nuit je disparais sous terre pour combattre Apopis, le serpent malfaisant. C'est pourquoi le jour succÅde ê la nuit. On m'a uni ê Amon, le dieu de l'Air et du Vent. Du coup, ensemble, nous ne faisons plus qu'un : Amon-RÉ, le plus puissant de tous les dieux.
BÅs
Bon, je sais, je ne suis pas trÅs beau : je suis un nain barbu et j'ai une queue de lion, en plus j'ai la langue qui pend. N'empÉche, tout le monde m'adore : avec moi, y a de la joie dans la maison ! Je porte chance et je protÅge toute la famille contre les dÄmons, surtout les bÄbÄs... Au fait, je m'appelle BÅs.
Sekhmet
Attention ! moi, Sekhmet, j'ai un sale caractÅre : je suis violente et j'envoie des ÄpidÄmies massacrer les hommes s'ils se rÄvoltent contre RÉ. Une vraie lionne ! Mais je sais aussi me montrer gentille : si l'on me fait de belles offrandes, je me calme et j'offre des remÅdes aux hommes. Mes prÉtres d'ailleurs sont des mÄdecins.
Thot
Moi je suis un sage, un savant, un magicien... Mon nom est Thot. J'ai inventÄ les hiÄroglyphes, je suis donc le dieu des scribes. Ce n'est pas tout : j'ai offert aussi les mathÄmatiques et la mÄdecine aux hommes. Tu as remarquÄ ? j'ai une tÉte d'ibis... et parfois de babouin !
Les fresques
RÄaliser une fresque Ätait un travail long et minutieux. Les artistes commenìaient par dessiner une esquisse, sur une planche ou sur une pierre quadrillÄe. Puis un spÄcialiste reproduisait les croquis ê l'Ächelle, sur un mur quadrillÄ lui aussi. Ensuite le fond Ätait sculptÄ pour faire ressortir les personnages. Restait aux peintres ê colorier la fresque, ê l'aide de pigments faits de poudres de minÄraux. Chaque couleur avait un symbole : le noir ╨ couleur de la fertilitÄ ╨ Ätait bÄnÄfique ; le vert reprÄsentait la vÄgÄtation et la renaissance ; le rouge, inquiÄtant, symbolisait le sang et le dÄsert.
L╒artisanat
Dans mon atelier, je travaille le cuir, le bronze, l'or ou le bois. Je fabrique surtout beaucoup d'objets de luxe pour les nobles. Parfois des villages entiers d'artisans travaillent au service du pharaon. OrfÅvres, potiers, ÄbÄnistes, ferronniers, maroquiniers, tisserands..., tous sont trÅs habiles et trÅs minutieux. En Ächange de notre travail, on nous paye en vÉtements ou en nourriture.
L╒art
Les âgyptiens aimaient ce qui est beau. CrÄer une statue, un monument ou une fresque Ätait un travail d'Äquipe et de prÄcision. Les rÅgles artistiques Ätaient bien Ätablies : les gens importants devaient Étre reprÄsentÄs plus grands que les autres ; un personnage Ätait toujours dessinÄ avec la tÉte et les jambes de profil tandis que l'╧il et les Äpaules Ätaient de face.
Les prÉtres
Pour que l'harmonie du monde soit maintenue et pour Äviter les catastrophes, il faut honorer les dieux. C╒est le rÖle des prÉtres. Nous sommes des gens savants, respectÄs et... puissants. Nous sommes les seuls ê connaötre les priÅres, les gestes et les textes sacrÄs qui plaisent aux dieux. Nous travaillons jour et nuit. Pour rester purs, nous nous rasons le crëne, le corps et mÉme les sourcils, et nous prenons 4 bains par jour ! Je suis en train de faire la toilette au dieu..., enfin ê la statue qui contient son ëme. Je la maquille et l'habille comme s'il Ätait vivant. Non, je ne joue pas ê la poupÄe, cela est trÅs sÄrieux ! Sais-tu que le prÉtre est le seul, avec le pharaon, ê pouvoir approcher la statue sacrÄe ? Je pose des offrandes : nourriture et boisson, trois fois par jour au pied de la statue du dieu. Car, comme tout le monde, le dieu a faim et soif !
Les processions
Les fÉtes religieuses Ätaient frÄquentes : l'occasion pour le peuple d'approcher les dieux. Parfois, les prÉtres sortaient la statue du dieu de son sanctuaire pour la promener dans une barque dorÄe tout autour du temple. TrÅs solennelle, cette procession ! Mais le dieu restait enfermÄ dans un reliquaire, invisible.
. Le palais
C'est la statue de Pharaon ! DrÖlement respectÄ, ce roi ! Et tout-puissant. Tu viens ? on va visiter son palais et rencontrer les gens de la cour : les savants, les scribes... ╦ toi de cliquer maintenant !
Les pharaons
Bonjour, je suis le pharaon, le roi, un dieu vivant pour mon peuple. Prosterne-toi devant moi ! On pense que j'ai des pouvoirs magiques ╨ celui d'agir sur les crues du Nil, par exemple. L'armÄe, la justice, la loi... je dirige tout. Je peux forcer n'importe qui ê travailler pour moi. J'ai de nombreuses femmes... et de nombreux enfants. Clique sur moi pour connaötre quelques-uns de mes ancÉtres.
RamsÅs II
Je suis l'un des plus grands pharaons. Grand chef militaire, j╒ai rendu l'âgypte trÅs puissante. J╒ai rÄgnÄ trÅs longtemps : 67 ans ! et j╒ai eu une centaine d'enfants. J╒ai fait construire une foule de monuments gigantesques... ê mon image bien s₧r. Mon signe particulier : je suis rouquin, ce qui Ätait malÄfique ê l'Äpoque..., en principe.
Akhenaton
Je suis Akhenaton, le pharaon maudit ! J╒ai bousculÄ bien des principes ! Je me suis opposÄ aux prÉtres et j╒ai voulu forcer les âgyptiens ê adorer un seul dieu, Aton, ê la place de tous les autres. Une vraie rÄvolution ! J╒ai aussi transformÄ les arts en poussant les artistes ê faire des portraits rÄalistes. Et j╒ai modernisÄ la langue.
Toutankhamon
Alors, moi, Toutankhamon, je n'ai pas rÄgnÄ longtemps car je suis mort trÅs jeune, ê 20 ans environ... dans des conditions bien mystÄrieuses d╒ailleurs... J╒ai rÄtabli l'ancienne religion aprÅs le rÅgne d'Akhenaton qui avait tout bouleversÄ. Et je suis surtout cÄlÅbre pour ma tombe qui renfermait de fabuleux trÄsors.
Hatshepsout
Je suis une ╟ pharaonne ╚ ! AprÅs la mort de mon mari qui Ätait roi, je me fit couronner pharaon et je dirigeai le royaume ê la place de mon beau-fils qui n'Ätait qu'un enfant. Je m'habillais en homme et portais tous les insignes du pharaon, comme la fausse barbe. Je suis une femme ambitieuse, j╒ai travaillÄ ê rendre mon pays pacifique et prospÅre. Mon rÅgne a durÄ 20 ans.
Les insignes
Le sceptre et le fouet sont les insignes de la royautÄ. La double couronne rouge et blanche, appelÄe pschent, reprÄsente la Haute- et la Basse-âgypte sur lesquelles rÅgne le pharaon. Il porte aussi une barbe postiche et parfois le nemÅs, la coiffure royale.
Un guerrier
Moi, je suis un guerrier. Plus prÄcisÄment un archer. Je combats sur mon char ╨ l'arme la plus noble de l'armÄe. Ma tactique : je dÄpasse les fantassins ennemis au galop, je fais demi-tour, et tchac ! je dÄcoche mes flÅches ! Notre armÄe est nombreuse et bien entraönÄe. C'est le pharaon notre gÄnÄral en chef. En temps de paix, nous autres, soldats, nous participons aux grands travaux de construction. Ces mouches en or, j'en suis trÅs fier ! Ce sont les preuves de ma bravoure au combat : je les ai reìues en rÄcompense. Pas touche ê ma mouche !
Les esclaves
Oh, moi, je ne suis qu'un esclave, un prisonnier de guerre. Je n'ai aucun droit. Mon rÖle : Äventer le pharaon et sa femme avec des plumes d'autruche. Je vais te montrer comment Ätait organisÄe la sociÄtÄ en âgypte, une sociÄtÄ trÅs structurÄe que l'on peut reprÄsenter... par une pyramide !
L╒astrologie
Moi, je suis ê la fois prÉtre et astronome. Normal : les Ätoiles sont des dieux, et pour nous, astronomie et astrologie, c'est un peu la mÉme chose. J'Ätudie le mouvement des astres pour prÄvoir les crues du Nil, pour dÄterminer les dates des cÄrÄmonies et pour dÄcider des jours fastes ou nÄfastes. Je dresse des cartes du ciel et je connais le moment prÄcis o¥ les rayons de RÉ, le dieu Soleil, iront frapper la pointe de la pyramide.
Les mathÄmatiques
Les âgyptiens avaient le sens pratique. Et leurs mathÄmatiques Ätaient assez simples : elles servaient surtout ê calculer la surface d'un champ, le volume d'un silo ê grains ou la hauteur d'une pyramide. Ils connaissaient l'addition, la soustraction, la multiplication et la division... mais pas le zÄro. Et il n'existait que 7 chiffres pour reprÄsenter les nombres.
LՎpouse du pharaon
Je suis l╒Äpouse du pharaon. Tous les âgyptiens me considÅrent comme une dÄesse.
La pyramide sociale
Dans cette pyramide, on peut voir les diffÄrentes strates de la sociÄtÄ Ägyptienne. âvidemment, en haut, c╒est la place du pharaon ! Clique dessus pour dÄcouvrir le nom de chacun de ses personnages.
Le pharaon
Le pharaon, tout-puissant, dirige le royaume. Il a plusieurs femmes mais sa favorite est la reine. Les pharaons forment des dynasties : on devient pharaon de pÅre en fils.
Les hauts dognitaires
Tous ces gens ont beaucoup de pouvoir. Le vizir est une sorte de Premier ministre du gouvernement, qui est composÄ de membres de la famille royale et des responsables des rÄgions.
Les scribes
Savoir lire et Äcrire, tel est leur privilÅge (sauf pour les simples soldats). Cette couche de la population est donc respectÄe et relativement puissante.
Les artisans
En gÄnÄral ces personnes sont peu instruites, mais elles connaissent leur mÄtier parfaitement. Elles sont assez nombreuses et elles constituent une part importante de la sociÄtÄ qui fait vivre le pays.
Les paysans
Ce groupe, tout en bas de la pyramide sociale, est le plus nombreux. Leur vie n'est pas facile, ils travaillent dur... et ne sont pas riches !
. La maison
Entre ! Bienvenue dans ma demeure, mon palais privÄ. Je suis le gouverneur. Ma maison est vaste : une salle de rÄception, des chambres, des appartements privÄs, une cuisine, une salle de bains... et, merveille des merveilles, un jardin plantÄ d'arbres qui entourent un bassin plein de poissons et de nÄnuphars ! Oh ! je donne une petite fÉte, ce soir... ╦ toi de rencontrer tout ce petit monde !
Les femmes
Nous sommes trÅs libres pour l'Äpoque. PrÉtresses, sages-femmes, musiciennes, commerìantes..., nous travaillons, alors que dans beaucoup de pays les femmes n'en ont pas le droit et restent enfermÄes ê la maison. Les âgyptiennes peuvent possÄder une propriÄtÄ et sortir s'amuser toutes seules. Une fois mariÄe, la femme est l'Ägale de l'homme. Mais il lui faut absolument faire des enfants.
La beautÄ
Les femmes riches ont un devoir essentiel : Étre belles ! Maquillages, parfums, huiles et crÅmes pour le corps..., les produits de beautÄ sont nombreux, ainsi que les bijoux. On prend grand soin de son corps, que l'on rase entiÅrement ╨ mÉme le crëne parfois, que l'on couvre alors d'une perruque. Ce cÖne de graisse parfumÄ, sur la tÉte, dÄgage un dÄlicieux parfum en fondant.
Les enfants
Moi, j╒ai beaucoup de chance, je peux aller ê l╒Äcole parce que mes parents sont riches. Au programme : Äcriture, sciences, histoire et sport. Les filles restent ê la maison, o¥ certaines apprennent ê lire et ê Äcrire, mais surtout ê tisser, ê danser, ê jouer de la musique et ê accomplir les tëches mÄnagÅres. ╦ 12 ans, elles sont en ëge de se marier.
Les jeux
Balles, toupies, quilles, animaux articulÄs, poupÄes en bois..., voilê les jouets des enfants. On s'amuse aussi au chevreau : une sorte de saute-mouton, ou bien ê envoyer un rectangle de bois ê travers un anneau par terre. Les adultes, eux, adorent les jeux de sociÄtÄ : le senet est une sorte de jeu de dames, et le jeu du serpent l'ancÉtre du jeu de l'oie.
Les objets fÄtiches
Ces amulettes sont trÅs prÄcieuses ! Elles sont supposÄes protÄger l'enfant contre le mal. On aime et on protÅge beaucoup les enfants. Il faut dire qu'ils sont nombreux ê mourir trÅs jeunes ê cause des maladies ou des accidents.
La musique
Pas de fÉte sans musique ! On joue de la harpe, de la fl₧te, de la lyre, du luth, du tambourin, des cymbales... Pour accompagner la fÉte, on fait venir des conteurs et des poÅtes. Les jeunes filles apprennent trÅs tÖt ê danser : des danses gracieuses et... trÅs acrobatiques. Hommes et femmes ne dansent jamais ensemble. âcoute, voici un petit aperìu musical╔
La musique
Bonjour, je m╒appelle Bak. Je suis mÄdecin. Je sais opÄrer et soigner les plaies et les fractures. Je connais les secrets des plantes qui guÄrissent les maux d'estomac, les caries ou les tumeurs... Et je sais aussi que le c╧ur contrÖle tout. Certains osent dire que nos pratiques sont un peu douteuses : comme avaler une souris pour soigner la toux, par exemple ! Mais ils sont fous, c╒est trÅs, trÅs efficace !
La magie
Si nos traitements n╒agissent pas, nous faisons appel ê la magie : formules secrÅtes, plantes aux pouvoirs magiques ╨ comme le hennÄ qui chasse les dangers ou l'ail qui fait fuir les serpents. Cette dague est un objet magique, elle protÅge le dormeur des esprits malÄfiques de la nuit.
Le temps
Pour mesurer le temps, les âgyptiens ont inventÄ une drÖle d'horloge : la clepsydre. Elle fonctionne avec de l'eau. Ce vase rempli d'eau se vide peu ê peu par un trou percÄ au fond. ╦ l'intÄrieur, ces cercles gravÄs sont des graduations : elles servent de repÅres pour lire le temps qui s'est ÄcoulÄ. IngÄnieux, non ?
Le calendrier
En Ätudiant les mouvements des astres dans le ciel, les âgyptiens ont Ätabli des calendriers. Comme le nÖtre, il comporte 365 jours. Il est divisÄ en 3 saisons de 4 mois. Sciences et magie se rejoignent : il existe des jours nÄfastes, Äcrits en rouge, couleur de la sÄcheresse et du mal. Regarde ces hiÄroglyphes, ils expriment une date : nous sommes le 5e jour du premier mois de l╒an 23 !
LՎcriture
Au fait, nous autres, les âgyptiens, on est parmi les premiers peuples ê avoir utilisÄ l'Äcriture. Viens, je vais te prÄsenter mon ami scribe !
Le scribe
Mon mÄtier ? âcrire. Je note tout : les lois, les comptes, les poÅmes, les mesures, les formules magiques, les recueils scientifiques, mÉme les mots d'amour... Mais je n'Äcris pas n'importe comment : ce doit Étre beau ê regarder. âcrire, c'est un art. Tous les pÅres rÉvent que leur fils devienne scribe et possÅde la connaissance, le pouvoir. Mais l'Äcole est dure : 10 ans d'Ätudes, et gare aux coups de bëton du maötre ! Clique sur mon papyrus.
Les hiÄroglyphes
Voici des hiÄroglyphes. Une Äcriture sacrÄe, rÄservÄe aux domaines religieux et funÄraire. Plus proches du dessin que de l'Äcriture, non ? On reconnaöt des personnages, des objets, des plantes et des animaux. Il existe plus de 700 hiÄroglyphes, classÄs en 3 familles : les hiÄroglyphes qui reprÄsentent des sons : les phonogrammes. Par exemple ce hibou correspond au son " m ". Ceux qui reprÄsentent des choses ou des idÄes. On les appelle des idÄogrammes. Par exemple ce signe (" rectangle avec un carrÄ dans le coin ") signifie un enclos. Ceux qui prÄcisent le sens d'un mot : les dÄterminatifs. Par exemple, ce bras armÄ signifie que l'action est violente. Pour constituer des mots et des phrases, tous ces signes Ätaient combinÄs entre eux. Le nom du pharaon Ätait inscrit dans un cartouche. Au fait, on disait les hiÄroglyphes magiques : ils pouvaient se mettre ê vivre...
Conclusion
Voilê ! Maintenant tu connais mes ancÉtres sur le bout des doigts ! Environ 1 000 ans avant JÄsus-Christ, les grandes invasions ont commencÄ. Au fil des siÅcles, mon pays a ÄtÄ dominÄ par plusieurs grandes puissances : âthiopie, Perse, GrÅce..., avant de devenir une province de l'Empire romain. Le dÄbut de la fin pour cette grande civilisation. L'Äcriture Ägyptienne fut interdite et on oublia les hiÄroglyphes... jusqu'ê ce que les Ägyptologues s'y intÄressent.
